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Gestion de patrimoine : trouver un bon conseiller

Pour une bonne gestion du patrimoine, trouver un bon conseiller est idéal. Cela permet d’éviter de dépenses folies et les gaspillages d’argent. Ce dernier sera, de ce fait, utilisé pour des bonnes causes. Pourtant, cela ne serait pas possible qu’à l’aide de conseiller, comment donc trouver le bon ?

Qualités à avoir

Pour un bon conseiller en gestion de patrimoine, il doit avoir des qualités qui seront à la hauteur de ce que demande le travail. On sait que gérer un patrimoine demande beaucoup de connaissances dans le domaine. Pour se faire, il faut que celui-ci soit quelqu’un qui possède de connaissance à un plan d’analyse juridique, fiscal, et financier. Egalement, ce conseiller doit connaître comment poser le diagnostic idéal, et agit avec dynamisme ainsi que de l’efficacité.

En effet, si quelqu’un qui prétend être un conseiller en gestion de patrimoine ne possède pas les qualités citées ci-haut, il faut penser à faire chemin brousse, et d’en trouver d’autres. « On risque de tout perdre en voulant tout avoir », dit le dicton. Ça sera le cas si on continue de fermer les yeux en insistant à engager un faux conseiller. Il ne faut pas se soucier aux dépenses qu’on doit faire jusqu’à ce que l’on trouve le meilleur.

Devenir un conseiller

Un jour, on aura peut-être envie de devenir un conseiller en gestion de patrimoine, ou tout simplement, on veut savoir ce qu’il faut faire pour le devenir. Dans ce paragraphe, on trouvera la réponse. Pour ce faire, on doit donc posséder d’au moins une formation Bac +3, l’idéal est de disposer un Master 2. La spécialité mentionnée dans le diplôme doit être la gestion de patrimoine, ou éducation écoles de commerce, ou autres filières équivalentes qui peuvent conduire à ce métier.

Outre ce qui est mentionné, posséder d’une solide formation juridique et fiscale, et surtout comptable sont également nécessaire. Il faut aussi qu’on ait un goût des affaires pour être à la hauteur. Avoir également une capacité d’écoute est important afin de connaître les besoins de la propriétaire de patrimoine. On doit aussi savoir compter le temps vu qu’être un professionnel dans le csconsulting de patrimoine est considérer comme des métiers indépendants.

Se passer d’un conseiller

Se passer d’un conseiller en gestion du patrimoine est une grande erreur. Parce qu’on n’aura pas capable de gérer tout son travail. Certes, on peut contacter immédiatement un particulier à particulier pour le traité d’un bien immobilier. Cependant, cela peut entraîner un grand risque, car celui-ci pourra faire un investissement en réticule avec un coup de cœur. Ceci est complètement contraire à ce que les profils d’un bon conseiller demandent.

Normalement, on doit agir avec un coup de dés, mais non pas avec un coup de cœur comme l’on dit ci-haut. Pour ce faire, il faut avoir un long parcours d’expériences en la matière. Tout cela explique donc, qu’on ne pourra pas se passer d’un conseiller en gestion de patrimoine.

micro crédit

Différences entre un microcrédit personnel et professionnel

Il existe diverses manières d’obtenir une aide financière. Pour ceux qui ne peuvent pas accéder au système bancaire classique, le microcrédit reste une option à envisager. Il se décline en plusieurs catégories, dont le prêt personnel et l’emprunt professionnel. Voici quelques détails qui permettent de distinguer des deux offres.

Un microprêt personnel s’adresse aux particuliers de tous profils

Le microcrédit personnel est une offre de financement destiné aux emprunteurs exclus des banques. Il s’agit d’aide à vocation sociale garantie par l’État. Le montant reste relativement faible. Le demandeur obtient entre 300 et 5000 euros. Cet argent pourra servir à face à une difficulté ponctuelle ou améliorer les conditions de vie. Les motifs demeurent généralement à la discrétion du souscripteur. Ce dernier a la possibilité de le porter à la connaissance du créancier ou de garder le secret. Ainsi, l’étudiant qui souhaite acheter un scooter ou un ordinateur pour mieux suivre les cours peut demander un prêt personnel. Cette offre s’apparente souvent à un crédit à la consommation sans l’être. L’acquisition d’équipements de loisirs telle qu’un téléviseur est refusé. Certains ménages recourent au microfinancement pour payer des soins médicaux non couverts par la sécurité sociale. À ce titre, le Casse d’allocation familiale propose aussi des aides pécuniaires à ses affiliés dans une situation précaire. Par ailleurs, le profil de l’emprunteur reste varié pour le microprêt personnel. Outre les étudiants, les salariés sous un contrat à durée déterminée sont nombreux à souscrire à cette solution pécuniaire. Les intérimaires, retraités ainsi que les mères au foyer sont également des bénéficiaires de la microfinance. Par-dessus tout, cette option s’adresse aux personnes en situation de surendettement.

Le microcrédit professionnel se destine aux entrepreneurs

Comme son nom l’indique, le microcrédit professionnel s’adresse aux entrepreneurs qui n’ont pas accès aux offres bancaires classiques. Pour bénéficier de ce type de financement il faut créer une ou reprendre une société immatriculée en France depuis 5 années fiscales. Le montant obtenu avoisine les 10 000 euros. La somme exacte ainsi que les modalités varient d’un organisme de microfinancement agrée à l’autre. De toutes les manières, les conditions sont plus poussées qu’avec une aide personnelle. Le requérant devrait apporter la preuve que les banques habituelles lui ont refusé une demande de prêt. Il faut aussi l’intervention d’une tierce signataire qui doit porter garante. Elle devrait notamment couvrir les dettes jusqu’à la hauteur de 50 % en cas de difficulté à rembourser de la part de l’emprunteur. En ce qui concerne le motif de la demande de microcrédit professionnel, le souscripteur dispose d’une certaine liberté. Il lui faut juste prouver que l’argent servira à l’entreprise. Cette structure peut avoir besoin d’un fond de trésorerie, de véhicule utilitaire ou de matériel. La constitution d’un stock peut être une raison acceptée par les créanciers. Différents prestataires suggèrent aux entrepreneurs en difficulté de trouver un micro crédit express. Ils épaulent pour la préparation du dossier et orientent vers les institutions habilitées à débloquer les fonds. Il est aussi possible de s’adresser directement à la Caisse des Dépôts ou aux agences telles que l’ADIE. Les chambres de commerce et les regroupements professionnels peuvent également apporter de précieux conseils dès qu’il s’agit de financement.

Rachat de crédit

Renégocier un rachat de crédit : comment s’y prendre ?

La renégociation d’un rachat de crédit ne s’improvise pas. Avant de s’y lancer, il convient de comprendre les principes, et notamment les conditions, les avantages et les contrats liés à cette pratique. Il faut savoir que l’opération commence de la même façon qu’un crédit ou un prêt classique, bien qu’elle dispose d’une structure bien différente. Cette différence se situe sur la structure du dossier et sur la finalité du rachat de crédits.

Voir les offres et simuler son rachat de crédits

Pour pouvoir faire un rachat de crédits dans les bonnes conditions, il convient de bien s’informer sur les offres proposées. Entre autres, vous pouvez vous renseigner sur internet. N’hésitez pas à consulter le guide du rachat de crédits de la Centrale de Financement. Vous y trouverez toutes les informations essentielles pour mieux appréhender votre projet.

Comme tout projet de financement, renégocier un rachat de crédit nécessite une simulation. Celle-ci peut se faire désormais en ligne. Toutefois, il convient d’être attentif au choix d’un simulateur pour éviter les études de financement erronées. Le mieux serait de vous fier à un conseiller de la Centrale de Financement pour bénéficier d’une étude adaptée à votre cas. Vous disposerez ainsi d’une simulation bien détaillée de votre rachat de crédits.

Prendre le temps de comparer les offres et de contacter un professionnel

Après avoir fait le point sur votre situation et vous informer sur les offres proposées sur le marché, la prochaine étape consiste à les comparer. Pour cela, vous pouvez collecter toutes les pièces justificatives nécessaires pour le montage de votre dossier, et faire appel à un professionnel. Ce dernier se chargera de comparer les offres existantes et de vous dénicher celle qui répondra le plus à vos besoins.

Pour y parvenir, il étudiera différents critères dont, le taux le prêt, la durée de remboursement, la mensualité, le coût total du rachat de crédits et les frais de dossier. L’intervention d’un professionnel est un atout précieux pour obtenir une analyse détaillée. Aussi, elle permet de gagner du temps et de bénéficier de son expertise en toute impartialité. Cet officier saura comparer les offres de l’ensemble des établissements financiers.

Il est judicieux d’anticiper sur les demandes de documents à fournir pour un rachat de crédits. Autrement dit, vous devez réunir les documents et les pièces justificatives nécessaires. Notamment, vous devez avoir sous les mains : une copie de votre pièce d’identité, vos trois derniers bulletins de salaires et relevés bancaires ainsi que vos tableaux d’amortissement et les offres de prêts en cours.

Un professionnel pour vous accompagner

Renégocier un rachat de crédits à ses inconvénients comme ses avantages. Mais se fier aux taux proposés et aux autres offres alléchantes ne suffit pas pour profiter des meilleures conditions. Il convient, en effet, de bénéficier de l’accompagnement d’un expert. Sur hypothecaireleningen.eu, vous pouvez confier votre recherche en toute sérénité à un professionnel compétent. Selon votre situation, le professionnel orientera ses études vers les solutions qui répondent à vos attentes.

Alléger le remboursement d'un prêt

Alléger le remboursement d’un prêt : les solutions possibles

Les banques et les autres institutions financières proposent de nos jours un accès facile au prêt. Entre autres, aucune garantie n’est nécessaire pour un prêt personnel. Aussi, il faut noter la flexibilité des conditions d’emprunt. Il est désormais possible de faire une demande en ligne. Toutefois, face à cet engouement, beaucoup de particuliers se lancent dans l’emprunt sans étudier réellement leur capacité. Et au final, nombreux se retrouvent en difficulté pour rembourser leur prêt.

Ces solutions pouvant être pratiques

Face à une situation de surendettement ou d’une incapacité à payer les mensualités, les particuliers cherchent à alléger le remboursement. Pour ce faire, ils pourront renégocier l’échéancier auprès de leur établissement prêteur. L’idéal est d’anticiper ce moment et ne pas trop tarder à en parler au banquier cartes sur table. Deux propositions sont possibles à l’issue de la renégociation : une suspension temporaire avec un report programmé ou une revue à la baisse. Celle-ci est d’environ 15% à 20%. Pour certaines banques, cette baisse est sous certaines conditions.

Outre la renégociation, le particulier peut également penser à activer son assurance chômage, notamment s’il a souscrit une assurance perte d’emploi lors de la signature de son crédit. Toutefois, il faut tenir compte du délai de carence et de franchise. Souvent, les contrats exigent un délai de 6 à 12 mois de latence avant que la garantie soit effective. Il faut, par ailleurs, considérer la durée d’indemnisation. Celle-ci est également soumise à une limitation dans le temps ou en nombre d’échéances. Ce délai est généralement de 18 à 48 mois. Et enfin, une assurance chômage ne pourra couvrir que partiellement la mensualité.

Il est possible d’utiliser un crédit Sécuri-Pass si vous êtes salarié d’une société assujettie au 1% Logement, et que vous avez des revenus inférieurs au plafond du PZT. Cette aide est une avance gratuite correspondant à 50% de vos mensualités. Elle est limitée à 400 euros par mensualité, durant une période de 12 mois maximum. Son remboursement s’étale sur 10 ans au maximum.

Souscrire un rachat de crédit pour alléger ses mensualités

Tout le monde le sait. Le rachat de crédit est un moyen pratique pour alléger le remboursement de plusieurs crédits. Son principe est de regrouper l’ensemble des dettes en un seul prêt. Concrètement, l’organisme accorde un nouveau crédit dont le montant correspond à la totalité des mensualités à payer. En étant réparti dans le temps, le capital diminuera considérablement le montant de vos mensualités. Il faut également noter que le rachat de crédits permet de mettre de l’ordre dans vos comptes, car vous bénéficierez d’une gestion de budget simplifié. En d’autres termes, vous vous donnerez la chance de rééquilibrer vos finances et vous lancer dans un nouveau projet. À noter qu’il existe différentes options de rachat de crédit pour permettre à chaque particulier de s’y retrouver.

De nombreux établissements, spécialisés ou non, proposent une solution de regroupement de prêts. Afin d’opter pour celui qui répond parfaitement à vos besoins, il faut prendre le temps de comparer les offres. Vous ne pouvez pas commencer par faire une simulation de rachat de crédits en ligne pour connaître le coût de l’opération.

regroupement de crédits

Les points à voir avant d’engager un regroupement de crédits

Le rachat ou regroupement de crédits est une solution pratique pour alléger le remboursement des mensualités. Toutefois, pour profiter pleinement de cette formule, il convient de bien évaluer le coût de l’opération. Cela est d’autant plus important, car les conditions financières peuvent varier d’une banque à l’autre. À noter que le principe de cette solution et rembourser l’intégrale de vos mensualités grâce à des fonds débloqués par votre nouveau créditeur.

Calculer le coût réel de l’opération

Avant de vous engager dans un rachat de crédit, il convient de vérifier le coût réel de votre regroupement de crédit. Pour y parvenir, vous devez comparer les intérêts des prêts en cours à ceux à payer dans le cadre du rachat. Il n’est pas rare que votre nouvelle mensualité soit inférieure. Il est également judicieux de considérer dans votre calcul de frais des frais de dossier ainsi que le montant de l’assurance emprunteur, si elle est obligatoire. Par ailleurs, certains prêteurs exigent une garantie. Entre autres, ils peuvent demander une hypothèque, dont l’inscription peut être coûteuse. En somme, il est judicieux de prendre le temps de comparer les offres de différents organismes.

Connaitre les différentes règles applicables dans un rachat de crédits

Il faut tenir compte du droit applicable au contrat de rachat de crédits. Celui-ci relève des règles applicables des crédits à la consommation s’il se porte uniquement sur ces derniers. Et cela, quel que soit le montant de l’opération. Sinon, si le regroupement porte sur des prêts immobiliers, le contrat est alors soumis aux dispositions exclusives au crédit immobilier. Et enfin, si le rachat de crédit concerne à la fois des crédits à la conso et immo, le contrat sera soumis à crédit immobilier si la part de ce dernier est au moins 60% du coût total du regroupement. Il faut aussi noter que les règles régissant le crédit immo sont applicables à toutes les opérations de rachat de crédits garantis par une hypothèque.

Les engagements du prêteur dans le cadre d’un regroupement de crédits

Dans le cadre d’un regroupement de crédits, votre nouveau prêteur exigera des pièces justificatives des dettes à regrouper. Il établira, par la suite, un document d’information, à partir de ces éléments. Ce document recensera les caractéristiques de vos prêts et dettes à racheter ainsi que les particularités du nouveau prêt. Cela est indispensable pour réaliser un bilan économique de l’opération. Ainsi, l’emprunteur sera également averti des conséquences du rachat sur sa situation personnelle. Votre banquier doit vous remettre de document en même temps que la fiche d’information précontractuelle et standardisée européenne.

Quelques inconvénients du rachat de crédits

Si le rachat de crédits comporte de nombreux avantages, il présente également quelques inconvénients. Entre autres, cela concerne la durée de remboursement. En effet, bien que les mensualités soient moins élevées, son remboursement allongé entraîne au final une somme assez conséquente. Aussi, on note une certaine perte dans votre relation bancaire, notamment en confiance et en fidélité. Et en vous séparant de votre banque, vous perdrez les avantages que vous auriez pu négocier avec elle.

âge limite de rachat de crédit

Tout savoir sur l’âge limite de rachat de crédit

Connu aussi sous l’appellation de regroupement de crédit, le rachat de crédit tente de répondre à une situation d’endettement excessif. L’objectif premier de cette pratique est de réduire le montant global des remboursements mensuels d’un particulier. Son principe consiste à substituer un ou plusieurs crédits déjà existants par un seul et unique crédit, et ce, avec un taux moins élevé. Très souvent, les établissements prêteurs refusent d’accorder un rachat de crédit à bien de seniors. Découvrez dans cette rubrique de plus amples détails sur la limite d’âge requise pour un rachat de crédit.

Jusqu’à quel âge peut-on faire un rachat de crédit à la consommation ?

En raison du remboursement incertain de leurs prêts, les personnes âgées ont souvent à essuyer plusieurs refus venant des établissements bancaires. D’une institution à une autre, le regroupement de crédit est conditionné par une limite d’âge. Et le rachat de crédit à la consommation ne fait pas exception. Bien que ce seuil varie d’un organisme à un autre, il est, généralement, fixé à 75 ans. Autrement dit, la mensualité finale doit être payée avant le 75e anniversaire de l’emprunteur. Ceci s’accompagne, bien entendu, d’une marge additionnelle de 6 mois.

Notons, toutefois, que dans certains organismes bancaires, on peut trouver des offres de regroupement de crédit, spécialement conçues pour les seniors. Ici, l’âge maximum en fin de prêt atteint alors les 95 ans.

Pour rappel, le rachat de crédit à la consommation permet de regrouper tout ou une partie de ses prêts consommation. Ces derniers peuvent s’agir d’un prêt auto, d’un crédit renouvelable ou encore d’un découvert bancaire. On peut aussi inclure dans l’opération certaines de ses dettes. Entre autres, on peut intégrer un retard des charges de copropriété, de loyer ou encore une facture impayée d’eau et d’électricité. Selon l’établissement, il est également possible d’inclure dans ce rachat une trésorerie complémentaire, à savoir le financement d’un nouveau projet.

Pour un rachat de crédit hypothécaire, qu’en est-il de l’âge limite ?

Outre le rachat de crédit à la consommation, on peut aussi faire un regroupement de crédit hypothécaire, sous certaines réserves, bien sûr. Avec ce genre de rachat, l’emprunteur doit impérativement être propriétaire. Soulignons que le regroupement de crédit hypothécaire consiste à racheter les crédits d’un propriétaire qui accepte de mettre son bien immobilier en garantie en échange. L’avoir en question peut être un appartement ou une maison dont la valeur est supérieure au montant des dettes. Le rachat de crédit hypothécaire est très fréquent dans l’hexagone. Il permet, généralement, au propriétaire d’obtenir une réponse positive à leur demande. Le fait que celui-ci hypothèque son bien immobilier est très rassurant pour les organismes bancaires.

Outre le rachat de prêt d’un bien immobilier, un regroupement de crédit hypothécaire permet aussi de racheter l’ensemble de prêts à la consommation. Pour un rachat de crédit hypothécaire, l’âge de fin de prêt est en moyenne de 85 à 95 ans.

Pour information, pour profiter du taux de rachat de crédit lié au rachat de crédit hypothécaire, la part immobilière doit représenter 60 % du montant total à financer.